A regarder les récentes œuvres de Faissal Ben Kiran, on est ébloui par ce monde. Le monde de belles odalisques qui jouent du luth ou « Rebab » dans des caftans aux couleurs chatoyantes, aux broderies aux motifs et signes énig- matiques. Le peintre à l’air d’utiliser un seul modèle. Avec une maîtrise tech- nique académique, il invoque les souvenirs d’enfance pour les confronter au réel d’aujourd’hui. Les femmes sont peintes dans des décors traditionnels avec des clins d’œil aux artistes marocains et mondiau